des fois, on appelle parce que le ombre se rend infiniment capital, parce qu’on ne sait plus comment décrypter ce qui provient, parce qu’on a la nécessité d’un mot tout de suite pour pouvoir prolonger. Le téléphone, dans ce minimum, devient
parfois, on appelle parce que le ombre est immensément décisif, parce qu’on ne sait plus de quelle manière décoder ce qui provient, parce qu’on a la nécessité d’un mot tout de suite permettant de tolérer. Le télép
Les secondes qui suivirent son message semblèrent s’étirer dans une attente silencieuse. Clémence sentit une étrange vertu dans l’air, une tension presque imperceptible, mais bien raisonnable. Elle tenait le téléphone limitrophe de son esgour